Rejoignez-nous pour un voyage dans le monde des livres!
Ajouter ce livre à l'électronique
Grey
Ecrivez un nouveau commentaire Default profile 50px
Grey
Abonnez-vous pour lire le livre complet ou lisez les premières pages gratuitement!
All characters reduced
L'Art gothique - cover

L'Art gothique

Victoria Charles, Klaus Carl

Maison d'édition: Parkstone International

  • 0
  • 1
  • 0

Synopsis

Développé à travers l’Europe pendant plus de 200 ans, l’art gothique est un mouvement qui trouve ses racines dans la puissante architecture des cathédrales du nord de la France. Délaissant la rondeur romane, les architectes commencèrent à utiliser les arcs-boutants et les voûtes en berceau brisé pour ouvrir les cathédrales à la lumière. Période de bouleversements économiques et sociaux, la période gothique vit aussi le développement d’une nouvelle iconographie célébrant la Vierge, à l’opposé de la thématique terrifiante de l’époque romane. Riche de changements dans tous les domaines (architecture, sculpture, peinture, enluminure, etc.), l’art gothique s’effaça peu à peu face à la Renaissance italienne.
Disponible depuis: 10/05/2014.
Longueur d'impression: 295 pages.

D'autres livres qui pourraient vous intéresser

  • Ilya Répine - cover

    Ilya Répine

    Grigori Sternin, Elena Kirillina

    • 0
    • 1
    • 0
    Ilya Répine (1844 Chuguyev –1930 Kuokkala)
    Ilya Répine était le plus doué du groupe que l'on appelait en Russie «Les Ambulants ». Dès l'âge de douze ans, il entre à l'atelier d'Ivan Bounakov pour apprendre le métier de peintre d'icônes. La représentation religieuse restera très importante pour lui. Il étudie ensuite à l'Académie des Beaux-Arts de Saint-Pétersbourg de 1864 à 1873 sous l'enseignement de Kramskoï. Il étudie deux ans à Paris où il sera fortement influencé par la peinture en plein air, mais sans pour autant devenir impressionniste, style qu'il jugeait un peu trop éloigné de la réalité. Épris de culture picturale française, il s'efforça de comprendre le rôle de celle-ci dans l'évolution de l'art contemporain. Entre 1874 et 1875, il expose au Salon de Paris et
    participe à la Société des expositions artistiques ambulantes à Saint-Pétersbourg.Un an plus tard, il obtient le grade d'académicien.
    La plupart des oeuvres puissantes de Répine traitent des conflits sociaux dans la Russie du XIXe siècle. Il assit sa réputation en 1873 grâce à son célèbre tableau Les Bateliers de la Volga, symbole du peuple russe opprimé traînant ses chaînes. Cette lutte contre l'autocratie a inspiré bon nombre de ses oeuvres parmi lesquelles Confession et L'Arrestation du Propagandiste ou Ils ne l'attendaient pas. Il représenta également l'histoire officielle de la Russie dans des oeuvres telles que Ivan le Terrible et son fils. Considéré comme un des maîtres de la peinture réaliste, il s'est attaché à exprimer la vie de ses contemporains : écrivains, artistes, intellectuels les plus en vue de Russie, paysans en plein travail, croyants en procession, révolutionnaires sur les barricades. On compte également beaucoup de portraits de ses proches : Tosltoï, Gay. Il comprend parfaitement les peines du peuple, les besoins et les joies de la vie populaire, Kramskoï dira à ce propos : «Répine possède le don de représenter le paysan tel qu'il est. Je connais beaucoup de peintres qui représentent le moujik, et ils le font bien, mais aucun ne sait le faire avec autant de talent que Répine. » Ses tableaux, qui s'éloignent des contraintes académiques de ses prédécesseurs, sont délicats et offrent une plasticité puissante. Même dans ses natures mortes, il a atteint une maîtrise supérieure, trouvé de nouveaux accents pour transcrire la vibration colorée et brillante des aspects sensibles.
    Voir livre
  • La Peinture Académique - cover

    La Peinture Académique

    Klaus H. Carl

    • 0
    • 0
    • 0
    La peinture académique désigne la peinture créée sous l'influence de l'Académie royale de peinture et de sculpture inaugurée en 1648. Philippe de Champaigne, peintre académique majeur du XVIIe siècle français, a dispensé plusieurs conférences à ce sujet. Elles sont illustrées par de nombreuses peintures, du XVIIe siècle à la fin du XIXe siècle. Ces discours ont permis de fixer les canons de l'Académie, dont les caractéristiques sont la pureté, l'harmonie et la simplicité. Ces mêmes lignes directrices se retrouvent dans les pays d'Europe qui voient apparaître des Académies au cours des XVIIe et XVIIIe siècles (Académie de Saint-Luc à Rome, Royal Academy of Arts à Londres par exemple). Cette peinture atteint son paroxysme à la fin du XIXe siècle, avec les peintres dits « pompiers » qui, appliquant fidèlement les règles classiques, affrontent l'approche moderne des impressionnistes.
    Voir livre
  • L’Office fédéral du sport à Macolin - cover

    L’Office fédéral du sport à Macolin

    Walter Mengisen, Reto Mosimann,...

    • 0
    • 0
    • 0
    Au-dessus du lac de Bienne, le hameau de Macolin fut d’abord un lieu de cure avant de devenir un complexe voué au sport unique en son genre. Une promenade entre l’ancien Grand Hôtel à l’architecture classique jusqu’au lieu-dit de la « Fin du monde » traverse 150 ans d’histoire du sport et de l’architecture. On y découvre les bâtiments construits juste après la fondation de l’École fédérale de sport en 1944, encore influencés par le Landistil, et les célèbres réalisations de Max Schlup, érigées dès les années 1970. Avec ses bâtiments et ses installations harmonieusement intégrés dans le paysage jurassien, le siège de l’Office fédéral du sport OFSPO jouit d’une renommée internationale et offre aujourd’hui des espaces pour la formation, la recherche, et l’entraînement.
    Voir livre
  • Fantin-Latour (1836-1904) - cover

    Fantin-Latour (1836-1904)

    Jp Calosse

    • 0
    • 0
    • 0
    Henri Fantin-Latour, né en 1836, mort en 1904. Il entre à l'École des beaux-arts en 1854. Il a pour condisciple Edgar Degas. En 1861, il fréquente l'atelier de Gustave Courbet. Membre du Cénacle des Batignolles d'où naitra l’Impressionnisme, FantinLatourrénove le portrait collectif avec de grands tableaux-manifestes : Hommage à Delacroix, 1864 ; Un atelier aux Batignolles, hommage à Manet, 1870 ; Un coin de table, hommage aux poètes parnassiens, 1872, dont Verlaine et Rimbaud ; 1885 Autour du piano, hommage aux musiciens. Possédez par la Passion de la musique : de Berlioz, Schumann et Wagner, FantinLatour la transcrit dans ces peintures, Il est l’ami de Manet, Verlaine. Ses œuvres les plus célèbres : Autoportrait à 17 ans, Lille, palais des beaux-arts, Hommage à Delacroix, (1864), Paris, musée d'OrsayUn atelier aux Batignolles, (1870), Paris, musée d'Orsay, Un coin de table, (1872), Paris, musée d'Orsay, Trois filles du Rhin 1876, Paris, musée d'Orsay, Baigneuses 1879, musée des beaux-arts de Lyon, Autour du piano, (1885), Paris, musée d'Orsay, La Famille Dubourg (1887), Paris, musée d'Orsay.
    Voir livre
  • Jazzier des émotions - cover

    Jazzier des émotions

    Valentin Elsa, Lucas Jean,...

    • 0
    • 0
    • 0
    Ça fait quoi de voir rouge ? D’être sur un petit nuage ? De vouloir rentrer sous terre ? Une collection de 13 émotions pour les oreilles : des notes de musique douces ou furieuses, associés à des mots poétiques et drôles ! On sillonne ainsi des flots d’humeurs, de contrariétés et de gaieté, emporté par un jazz parfois paisible, parfois tumultueux, toujours passionné. Le trombone, la contrebasse et la batterie du TromBaBa Trio sont du voyage !
    Voir livre
  • Chagall - cover

    Chagall

    Victoria Charles

    • 0
    • 2
    • 0
    Marc Chagall (Vitebsk, 1887 – Saint-Paul-de-Vence, 1985)
    Chagall est né dans une famille juive de stricte obédience pour laquelle l’interdit de représentation de la figure humaine avait valeur
    de dogme. Après un échec à l’examen d’entrée à l’école des Arts et Métiers du baron Stieglitz, Chagall intègre plus tard celle fondée par
    la Société impériale d’encouragement des Beaux-Arts dirigée par Nicolas Roerich.
    En 1910, il s’installe à Paris qui sera son «second Vitebsk ». Chagall retrouve à la Ruche de nombreux compatriotes attirés, eux aussi, par le prestige de Paris. Lipchitz, Zadkine, Archipenko, Soutine qui maintiendront, autour du jeune peintre, le parfum de sa terre natale. Les auteurs des premières études sur Chagall relevaient déjà que Paris avait influencé sa manière picturale, avait apporté une nervosité
    frêle et une netteté aux lignes qui répondent avec assurance et justesse à la couleur et pour beaucoup, la commandent. L’observateur le plus attentif, le plus passionné, se révèle parfois incapable de distinguer le Chagall «de Paris » du Chagall «de Vitebsk ».
    L’artiste n’est pas contradictoire ni «dédoublé », mais il demeurait constamment ouverts, regardant en lui et autour de lui, considérant le
    monde environnant, les idées de son époque, les souvenirs du passé. Chagall est doué d’une sorte «d’immunité stylistique », il
    s’enrichit sans rien détruire de sa propre structure. Il s’enthousiasme, apprend en toute ingénuité, se défait de la maladresse juvénile, mais sans perdre son «authenticité ». Parfois, c’est comme s’il regardait le monde à travers le prisme magique de l’école de Paris.
    Alors il engage un jeu tout en finesse et en sérieux avec les découvertes du tournant du siècle, alors l’adolescent se considère, ironique et songeur, dans un miroir où s’unissent tout naturellement les acquis picturaux de Cézanne, la spiritualisation fragile de Modigliani, les rythmes complexes des plans qui rappellent les expériences des premiers cubistes (Autoportrait devant le chevalet, 1914).
    Cependant, au-delà des analyses qui, aujourd’hui, éclairent les sources judéo-russes du peintre, les filiations formelles héritées ou
    empruntées, mais toujours sublimées, une part de mystère demeure dans l’art de Chagall. Ce mystère tient peut-être à la nature même de
    cet art qui puise dans le souvenir.
    Voir livre