Le Tombeau de Couperin (orchestral score)
Maurice Ravel
Editorial: Ottaviano Publisher
Sinopsis
"Le Tombeau de Couperin" by Maurice Ravel (orchestral score) in 4 movements: I Prélude, II Forlane, III Menuet , IV Rigaudon.
Editorial: Ottaviano Publisher
"Le Tombeau de Couperin" by Maurice Ravel (orchestral score) in 4 movements: I Prélude, II Forlane, III Menuet , IV Rigaudon.
Paul Klee (Munchenbuchsee, 1879 – Muralto, 1940) La réputation de Klee était celle d’un artiste introverti et rêveur. C’est une image qu’il cultivait en partie lui-même. En 1911, Klee fut présenté à August Macke. Peu après, il rencontra Marc et Kandinsky. Ils l’accueillirent dans le groupe exposant sous le nom de Blaue Reiter et il contribua à leur almanach. En avril 1912, Klee se rendit à Paris et fut profondément impressionné par «l’Orphisme » abstrait de Robert Delaunay. L’art de Klee se distingue par sa diversité extraordinaire et son innovation technique. L’une de ses techniques les plus efficaces était en réalité très simple – le transfert à l’huile (le dessin avec une pointe affûtée au verso d’une feuille couverte de peinture à l’huile et couchée sur une autre feuille). Les effets collatéraux du procédé entraînaient l’apparition de taches de couleur dues au hasard. De cette façon, Klee parvint dans plusieurs oeuvres à éhiculer une impression «spectrale ». De nos jours, l’un des plus célèbres tableaux de Klee est Der Goldfisch (Le Poisson rouge) de 1925. Un poisson lumineux brille vivement, en suspension dans un enfer aquatique. Klee fut xtrêmement productif pendant les années du Bauhaus, mais en fin de compte, la prise du pouvoir par les Nationaux-Socialistes le poussa à quitter l’Allemagne avec sa femme pour sa Suisse natale. Les dernières oeuvres de Klee, dans lesquelles dominent les formes simplifiées et archaïques, montrent sa préoccupation pour la mortalité. Klee mourut en 1940, au terme d’une longue maladie.Ver libro
Aucun autre artistene représente l'âge d'or hollandais comme Rembrandt. Avec ses peintures à l'huile réalistes, ses gravures détaillées et ses dessins exquis, il est la figure de proue d'une génération entière. Composée de 300 illustrations accompagnées de légendes détaillées, cette collection propose une analyse de l’ensemble des œuvres d’un artiste ou bien d’un mouvement de l’histoire de l’art. Célèbre aussi bien de son vivant qu’après sa mort, Rembrandt est l’un des plus grands maîtres du XVIIe siècle. Ses portraits ne constituent pas uniquement une plongée dans l’époque du peintre, ils présentent avant tout une aventure humaine ; sous chaque touche de peinture semble s’éveiller la personnalité du modèle. Ils ne sont aussi que la partie immergée de l’iceberg Rembrandt, qui a réalisé plus de 400 peintures, 350 gravures et 2000 dessins et une centaine d’autoportraitspermettant de suivre son parcours personnel, tant physique qu'émotionnel.Dans toute son Œuvre, l’influence du réalisme flamand est aussi puissante que celle du caravagisme italien. Ce savant mélange, Rembrandt l’applique à tous ses tableaux, conférant aux sujets bibliques tout autant qu’aux thèmes quotidiens une puissance émotionnelle et intimiste sans pareil.Ver libro
Gustave Courbet (Ornans, 1819 – La Tour de Peilz, Suisse, 1877) Ornans, sa ville natale, se situe près la ravissante vallée du Doubs, et c'est là que jeune garçon, et plus tard en tant qu'homme, il acquit l'amour du paysage. Il était par nature révolutionnaire, un homme né pour s'opposer à l'ordre existant et affirmer son indépendance ; il possédait la rage et la brutalité qui font le poids d'un révolutionnaire en art comme en politique. Et son esprit de révolte se manifesta dans ces deux directions. Il s'installa à Paris pour étudier l'art. Toutefois, il ne se fixa pas à l'atelier d'un maître influent en particulier. Dans sa province natale déjà, il n'avait pas cherché à se former à la peinture, et préférait maintenant étudier les chefsd'oeuvre exposés au Louvre. Au début, ses oeuvres n'étaient pas assez caractéristiques pour susciter une quelconque opposition, et elles furent admises au Salon. Puis il produisit L'Enterrement à Ornans, qui fut violemment pris d'assaut par les ritiques : «Une mascarade de funérailles, six mètres de long, dans lesquels il y a plus motif à rire qu'à pleurer ». En réalité, la véritable offense des tableaux de Courbet était de représenter la chair et le sang vivants ; des hommes et des femmes tels qu'ils sont vraiment, et faisant vraiment ce qu'ils sont occupés à faire – non pas des hommes et des femmes dépourvus de personnalité et idéalisés, peints dans des positions destinées à décorer la toile. Il se défendit en disant qu'il peignait les choses telles qu'elles sont, et professa que la vérité vraie devait être le but de l'artiste. C'est ainsi que lors de l'Exposition universelle de 1855, il retira ses tableaux du site officiel et les exposa dans une cabane en bois, juste à côté de l'entrée, arborant l'intitulé en majuscules : «Courbet – Réaliste ». Comme tout révolutionnaire, c'était un extrémiste. Il ignorait délibérément le fait que chaque artiste possède sa propre vision et sa propre expérience de la vérité de la nature ; et il choisit d'affirmer que l'art n'était qu'un moyen de représenter objectivement la nature, dénué d'intentions, et non une affaire de choix ou d'arrangement. Dans son mépris pour la beauté, il choisit souvent des sujets que l'on peut sans mal qualifier de laids. Il possédait néanmoins un sens de la beauté doublé d'une aptitude aux profondes émotions, qui transparaît tout particulièrement dans ses marines. Il se révéla être un peintre puissant, au geste ample et libre, utilisant des couleurs sombres en couche épaisse, et dessinant ses contours avec une fermeté qui rendait toutes ses représentations très réelles et mouvementées.Ver libro
L’avant-garde russe naît à l’aube du XXe siècle dans une Russie prérévolutionnaire. L’effervescence intellectuelle et culturelle connaît alors son apogée : de nombreux artistes, influencés par l’art européen, se libèrent des contraintes sociales ou esthétiques héritées du passé. Ce sont ces artistes avant-gardistes qui, par leur incroyable inventivité, donnent naissance à l’art abstrait, et permettent à la culture russe d’accéder à la modernité. Les peintres Kandinsky, Malevitch, Gontcharova, Larionov et Tatline, pour ne citer que les plus connus, marqueront de leurs empreintes tout l’art du XXe siècle.Ver libro
Veilleur infatigable, le phare, système de signalisation maritime salvateur qui apparut dès l’Antiquité, guidait sans relâche les bateaux jusqu’à bon port. Si ce nom puise son origine de l’île Pharos qui abritait le phare d’Alexandrie, il semble que les volcans comme le Stromboli et ses irruptions fréquentes furent à l’origine de cette invention. Si, face à la modernité croissante des équipements des bateaux, ces sentinelles solitaires n’ont, aujourd’hui, plus guère d’utilisation, cet ouvrage tend à souligner non seulement leur intérêt architectural majeur, mais aussi la place qu’ils ont dans le patrimoine culturel mondial. Du phare des Baleines (France) au phare du Bout du Monde (Terre de Feu, Argentine) en passant par le phare de l’Île verte (Canada) ou le phare de Bell Rock (Écosse), cet ouvrage invite le lecteur à redécouvrir les richesses de ces témoins d’un autre temps.Ver libro
Pierre-Auguste Renoir (1841-1919) est l'un des plus célèbres peintres impressionnistes français. Influencé dans ses premières œuvres par Raphaël, et créateur de plus de 6 000 tableaux, Renoir accordait plus d'importance à la figure humaine qu'au paysage. Ses œuvres, enrichies d'une palette exclusive et unique à l'artiste, nous montrent la vie à Paris à cette époque. Son plus grand chef-d'œuvre reste le Bal du Moulin de la Galette.Ver libro