Delphine
Madame de Staël
Verlag: Project Gutenberg
Beschreibung
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C'est un roman historique, social et philosophique dans lequel on retrouve les idéaux du romantisme et ceux de Victor Hugo concernant la nature humaine. L'auteur lui-même accorde une grande importance à ce roman et écrit en mars 1862, à son éditeur Lacroix : " Ma conviction est que ce livre sera un des principaux sommets, sinon le principal, de mon œuvre ".Zum Buch
Les maisons sont ici la cristallisation de tous les rêves de bonheur, le lieu où se dévoile l'intimité profonde de l'âme. Au travers de ces textes tour à tour joyeux et émouvants s'offrent trois regards d'écrivains.Zum Buch
Léon Tolstoï est né en 1828 dans une petite ville de Russie. Son enfance est frappée par le malheur, consécutivement, il subit la perte de sa mère puis de son père et de sa grand-mère. Son tempérament, très sensible, l'amène à se poser très jeune des questions sur les inégalités sociales qu'il voit autour de lui. Il se fait soldat et les scènes de guerre auxquelles il participe seront la source de son roman le plus connu Guerre et Paix. Lorsqu'il se marie à Sophie Behrs en 1862, il regagne la campagne et débute une existence très disciplinée mais paisible que vient rompre une crise de conscience, en 1869, sur la condition humaine. Il se rapproche alors de la philosophie de Schopenhauer, et marque le début d'une vision anarchiste, morale et chrétienne du monde. Il rédige alors Anna Karénine et le succès de son œuvre ne l'empêche pas de se tourner vers une vie de plus en plus dépouillée. Pendant les dernières années de son existence, il vit comme un paysan, puis devient un vagabond, il meurt de froid, emporté par une pneumonie en 1910.Zum Buch
Le Papa de Simon raconte l'histoire d'un garçon qui n'a plus de père, et est la risée de ses camarades. "Il avait sept ou huit ans. Il était un peu pâlot, très propre, avec l'air timide, presque gauche. Il s'en retournait chez sa mère quand les groupes de ses camarades, chuchotant toujours et le regardant avec les yeux malins et cruels des enfants qui méditent un mauvais coup, l'entourèrent peu à peu et finirent par l'enfermer tout à fait. Il restait là, planté au milieu d'eux, surpris et embarrassé, sans comprendre ce qu'on allait lui faire. Mais le gars qui avait apporté la nouvelle, enorgueilli du succès obtenu déjà, lui demanda : - Comment t'appelles-tu, toi ? Il répondit : - Simon."Zum Buch
La rabouilleuse est la personne qui trouble l'eau de la rivière afin qu'écrevisses et petits poissons paniqués tombent dans le piège du pêcheur. Agathe est veuve très tôt, coupée de sa riche famille de province pour des raisons obscures, elle doit se débrouiller seule avec ses deux fils que tout oppose. Le beau Philippe, le préféré, blond aux yeux bleus qui devient rapidement capitaine dans l'armée et Joseph, le petit brun taciturne qui a des velléités de devenir peintre. Toutefois les passions des deux frères ne les destineront pas à un sort attendu. Parmi les romans de Balzac le plus noir et le plus injustement méconnu.Zum Buch
« Qui n’a pas cru sa vie inutile sans celle de l’“autre”… qui n’a pas senti son corps tout entier se mettre en garde, la main droite allant flatter le changement de vitesse, la main gauche refermée sur le volant et les jambes allongées… qui n’a pas ressenti ce mélange de refus et de provocation, n’a jamais aimé la vitesse, n’a jamais aimé la vie – ou alors, peut-être, n’a jamais aimé personne. » F.S. Comme dans une conversation familière et intime, Françoise Sagan nous dresse en mosaïque les portraits des grand·e·s de son époque qu’elle a eu la chance de côtoyer : Billie Holiday, Orson Welles, Rudolf Noureev, Jean-Paul Sartre… Pulsions, émotions, passions, admirations composent la musique pudique et singulière de ses souvenirs. Dix ans après avoir enregistré « Avec mon meilleur souvenir », le plus personnel et le plus accompli de ses livres, Françoise Sagan raconte dans « Derrière l’épaule » (Plon, 1998) cette expérience inédite : « Le studio donnait sur une cour, style Utrillo, où un enfant et un chat se succédaient. Contrairement aux prédictions pessimistes de l’ingénieur du son, je me débrouillai fort bien, ne bégayai pas et inscrivis ma voix sur un disque, comme une professionnelle, pendant trois jours… C’était l’été, je crois, et j’ai gardé un souvenir paresseux et réussi de ces trois jours. »Zum Buch