
Son Excellence Eugène Rougon
Émile Zola
Verlag: Les Classiques
Beschreibung
Les Rougon-Macquart: histoire naturelle et sociale d'une famille sous le second Empire. VI (1876)
Verlag: Les Classiques
Les Rougon-Macquart: histoire naturelle et sociale d'une famille sous le second Empire. VI (1876)
Dans le fjord norvégien de Berlewaag, un pasteur a élevé dans l’humilité et le dénuement Martine et Philippa, ses deux filles. La communauté pieuse veille sur ses « petites sœurs » après la disparition de leur saint père, quand elles recueillent chez elles Babette. Cette réfugiée française, rescapée des massacres qui ont suivi la Commune de Paris, devient leur servante. Mais lorsqu’elle remporte une somme fabuleuse à la loterie, les sœurs s’inquiètent de la voir partir. Babette les prie de la laisser préparer en l’honneur de leur père un souper fin à la française. Elles le craignent alors comme leur perdition. « Rappelons-nous que la langue, cette partie du corps si petite, se glorifie d’accomplir de grandes choses. Nul homme ne peut discipliner sa langue : c’est un démon insoumis, qui peut distiller un poison mortel. Le jour anniversaire de notre maître, nous nettoierons nos langues, les purifiant de toute concupiscence et de tout dégoût, les préservant pour leur seule haute fonction, qui consiste à louer et à remercier le Seigneur. » K.B. Stéphane Audran a interprété l’inoubliable Babette du film oscarisé de Gabriel Axel (1987). Elle nous initie, avec Karen Blixen traduite par Marthe Metzger, à ce don premier de l’oralité.Zum Buch
Cette nouvelle, Emmeline, la première qu'ait composée Musset, fut publiée dans la Revue des Deux Mondes du 1er Août 1837. Elle fut très appréciée de Balzac qui y vit un chef d'œuvre de la "nouvelle moderne". Le thème est tiré de l'expérience même de Musset. Emmeline n'est autre que Mme Jaubert qui, après avoir été la maîtresse de l'auteur, devait devenir son amie, sa « marraine », celle que dans ses vers il appelle Ninon. Musset a fondu dans sa nouvelle des circonstances de sa première et de sa seconde liaison avec celle-ci (1836). Le rival du héros n'est autre qu'Achille Bouchet, un ami de Musset. Guillaume de Louvencourt est acteur, professeur de théâtre et metteur en scène, ancien élève du Cours Simon et de l'École Supérieure du Spectacle. Il est également chroniqueur radio et prête régulièrement sa voix à des livres audio.Zum Buch
RICHARD III de William Shakespeare. Monologues interprétés par David Serero en Francais. Adapté en Francais par David Serero.Zum Buch
"Dans la banlieue de Paris vivait une famille de bourgeois riches. Ils habitaient une élégante villa au milieu d’un parc, au bord de la Seine. Le cocher était ce François, gars de campagne, un peu lourdaud, bon cœur, niais, facile à duper. Comme il rentrait un soir chez ses maîtres, un chien se mit à le suivre. Il n’y prit point garde d’abord ; mais l’obstination de la bête à marcher sur ses talons le fit bientôt se retourner. Il regarda s’il connaissait ce chien. — Non, il ne l’avait jamais vu. C’était une chienne d’une maigreur affreuse, avec de grandes mamelles pendantes. Elle trottinait derrière l’homme d’un air lamentable et affamé, la queue entre les pattes, les oreilles collées contre la tête, et s’arrêtait quand il s’arrêtait, repartant quand il repartait."Zum Buch
Il y avait autrefois dans cette ville une vieille dame, très vertueuse et protectrice de la vertu, qui s'appelait Madame Husson. Tu sais, je te dis les noms véritables et pas des noms de fantaisie. Mme Husson s'occupait particulièrement des bonnes oeuvres, de secourir les pauvres et d'encourager les méritants. Et donc, cette Madame Husson va créer un prix de vertu, pour une rosière. Sauf que… Vous aimez la tendresse pour les faibles, les imparfaits, la mise à jour des petites faillites quotidiennes ? Hop ! Un bain de Maupassant s’impose. Autres nouvelles : Un échec, Le modèle, Enragée ?, Une vente, L'assassin, La Martine, Une soiréeZum Buch
Après la mort de leur père, Elinor et Marianne s’installent avec leur mère et leur jeune sœur à la campagne. La famille se trouve très démunie; il devient urgent de marier les deux sœurs afin de leur assurer un bel avenir. Marianne, romantique et passionnée, s’éprend immédiatement du charmant John Willoughby, tandis qu'Elinor, plus prudente, n’ose avouer sa flamme à Edward Ferrars. Entre raison et sentiments, ces jeux de l’amour vont leur réserver bien des espoirs et des bonheurs, mais aussi des déceptions et des souffrances. Les deux jeunes femmes devront apprendre de leurs vacillements. Pour le meilleur et pour le pire.« L’intelligence de Jane Austen n’a d’égale que la perfection de son bon goût. Ses sots sont des sots, ses snobs sont des snobs, parce qu’ils s’éloignent du modèle de raison et de bon sens qu’elle a en tête, et qu’elle nous transmet clairement à l’instant même où elle nous fait rire. Jamais romancier n’a fait autant usage, et à la perfection, de son sens des valeurs. » Virginia WoolfZum Buch