
Son Excellence Eugène Rougon
Emile Zola
Publisher: Les Classiques
Summary
Les Rougon-Macquart: histoire naturelle et sociale d'une famille sous le second Empire. VI (1876)
Publisher: Les Classiques
Les Rougon-Macquart: histoire naturelle et sociale d'une famille sous le second Empire. VI (1876)
C'est l'histoire d’un jeune homme qui, lors d'un héritage, ne reçoit qu'un chat. Cela semble peu prometteur, et peu utile. Mais le chat, doté d’une grande intelligence, met en place un stratagème pour transformer la fortune de son maître...Show book
1914. Mobilisation générale. La France est en guerre. Le Polonais Apollinaire fait sa demande de naturalisation pour s'engager auprès des soldats français. L'offensive allemande menace Paris et en attendant l'issue de ses démarches administratives, Apollinaire part pour Nice où résident plusieurs de ses amis. Là, il fait la connaissance d'une jeune femme qui, dès l'abord, le fascine. Elle s'appelle Louise de Coligny-Châtillon. Pour lui, elle sera Lou. Dès lors, de Nice où ils se sont rencontrés, puis de Nîmes où il a rejoint le 38e régiment d'artillerie et enfin du front où il s'est porté volontaire, Apollinaire se lance dans une folle correspondance. Ces lettres témoignent de son amour pour Lou. Un amour passionné et fulgurant. Gérard Desarthe donne vie à cette magnifique correspondance. Avec une force et une énergie captivantes, il retranscrit avec justesse et émotion le caractère entier d'Apollinaire, passant de la confiance et de l'enthousiasme à l'abattement total. Instants magiques et troublants. Gérard Desarthe est Apollinaire !Show book
Cet article publicitaire comprend une sélection d'extraits sonores de livres audios parus entre 1980 et 2020. Pionnière en Europe, La Bibliothèque des voix est la première collection française de livres audio, créée en 1980. Ces enregistrements de grands textes lus par de grandes comédiennes et comédiens ou bien par leur auteur ou autrice sont une archive précieuse et constituent un patrimoine culturel singulier.Show book
C'est le soir de Noël, les festivités se préparent... Mais, avant de pouvoir goûter aux délicieux mets confectionnés en cuisine, il y a trois messes basses à dire... Trois longues messes basses que le révérend Dom Balaguère doit dire, avant de se mettre à table... Tiré des Lettres de mon Moulin, Les Trois Messes Basses est un conte de Noël à la manière provençale.L'auteurNé à Nîmes en 1840, Alphonse Daudet a connu une enfance difficile en Provence avant de devenir maître d'études à Alès, épisode qu'il évoquera dans Le Petit Chose (1868). Venu à Paris, il est remarqué dès sa première œuvre, Les Amoureuses (1858), un recueil de poèmes. Devenu célèbre grâce à ses contes, Les Lettres de mon moulin (1866), il reste fidèle à sa Provence natale en composant la trilogie de Tartarin (Tartarin de Tarascon en 1872, Tartarin sur les Alpes en 1885 et Port-Tarascon en 1890). Pour le théâtre, il tire des Lettres de mon moulin un drame, L'Arlésienne que Georges Bizet mettra en musique. Romancier réaliste, Alphonse Daudet va aussi dépeindre les mœurs de son temps dans Jack (1876) ou Sapho (1884) et évoquer la chute de l'Empire et la guerre de 1870 dans Les Contes du lundi (1873). Alphonse Daudet est décédé à Paris en 1897.Show book
La toute-puissance du hasard est au centre des textes cruels et drôles réunis ici. Ces écrivains ont une fascination commune pour un thème complexe et troublant. Le billet gagnant – RencontreShow book
Après la mort de leur père, Elinor et Marianne s’installent avec leur mère et leur jeune sœur à la campagne. La famille se trouve très démunie; il devient urgent de marier les deux sœurs afin de leur assurer un bel avenir. Marianne, romantique et passionnée, s’éprend immédiatement du charmant John Willoughby, tandis qu'Elinor, plus prudente, n’ose avouer sa flamme à Edward Ferrars. Entre raison et sentiments, ces jeux de l’amour vont leur réserver bien des espoirs et des bonheurs, mais aussi des déceptions et des souffrances. Les deux jeunes femmes devront apprendre de leurs vacillements. Pour le meilleur et pour le pire.« L’intelligence de Jane Austen n’a d’égale que la perfection de son bon goût. Ses sots sont des sots, ses snobs sont des snobs, parce qu’ils s’éloignent du modèle de raison et de bon sens qu’elle a en tête, et qu’elle nous transmet clairement à l’instant même où elle nous fait rire. Jamais romancier n’a fait autant usage, et à la perfection, de son sens des valeurs. » Virginia WoolfShow book